THE LAST FIVE YEARS.
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 (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince)

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(2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince) Empty
MessageSujet: (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince)   (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince) EmptyLun 20 Mar - 19:53


athéna & vincenzo


Ses obsidiennes chocolatées miraient la discussion inscrite sur l'écran de l'ordinateur, celle qu'elle avait entretenue avec ce correspondant qui était devenu son confident, son meilleur ami...Et autre. Elle poussait un long soupir, relisant attentivement chacune des phrases inscrites. Il était proche d'elle en localisation. C'était assez étrange de se dire qu'il se trouvait quelque part dans le même continent qu'elle alors qu'ils avaient toujours été éloignés, n'ayant jamais rompu cette distance entre eux, peut-être pour se préserver, pour éviter que ce mensonge qu'elle avait orchestrée ne soit révélé. Une photo qu'elle avait dévoilée et qui n'était sienne, une blonde aux prunelles de jade, une amie qu'elle avait perdue de vue au fil des années et qui était son total opposé physiquement, un mensonge qu'elle n'avait jamais songé à dévoiler, une apparence qu'il pensait acquise et qui était loin de celle qu'il avait entraperçu par cette photo glissée à son encontre. Le bout du stylo échouait contre son inférieure, la tapotant légèrement tout en fermant cette conversation, sachant que tout ceci ne durerait. Elle ne cessait d'appréhender cet instant où elle viendrait à le rencontrer, dévoilant ainsi un visage qu'elle lui avait subtilement cachée durant toutes ces années. Elle secouait légèrement la tête, parcourant ses fichiers sur son écran, finissant la paperasse qu'elle n'avait su terminée la veille, trop occupée à communiquer avec cette âme jumelle, pour se concentrer sur ce but de chercher de nouveaux talents à inscrire sous son label ou du moins celui pour lequel elle travaillait ardemment, mais pour l'instant, elle n'avait aucune piste concrète, ayant fouillée les réseaux sociaux activement sans pour autant avoir une personne en particulier qui sortait du lot. Elle glissait ses doigts dans sa chevelure qui s'écoulait en un amas de boucles brunes sur ses épaules, clôturant certains dossiers, sachant que cette soirée serait décisive où elle devrait se rendre dans certains bars à la quête d'un talent qui se produirait sur scène dans un temps défini, sans se douter qu'il pourrait être cette perle rare qu'elle voulait recueillir avant de se la faire subtiliser par un concurrent plus avide. Le liquide noirâtre glissait dans sa gorge, une légère grimace épousant ses lèvres mutines devant la tiédeur de ce dernier, coulant un regard vers sa montre qui indiquait l'heure avancée d'une après-midi qui touchait à sa fin. Elle quittait son siège nacré, prenant sa mallette dans laquelle elle fourrait quelques dossiers clés pour ensuite quitter l'étreinte de son bureau, traversant le couloir en souhaitant une bonne soirée à son assistante qui était devenue une amie proche au fil du temps, ses pas la menant en dehors du bâtiment. Des larmes cristallines s'échappaient de ce voile nocturne qui prenait place au dessus d'-elle, lui faisant poussé un soupir exaspéré, hélant un taxi qui vint l'amener à son appartement plongé dans la pénombre, éclairé le temps de quelques minutes par cette lumière artificielle, le temps de se changer rapidement, enfilant une tenue plus confortable et conviviale, attrapant une écharpe qu'elle enserrait autour de sa nuque. Malgré un temps plus printanier, le froid se faisait encore ressentir dans l'atmosphère, ne laissant encore place à cette chaleur qu'elle attendait avec une certaine impatience, n'ayant jamais aimée ce temps hivernal contrairement à d'autres qui attendaient ces flocons de neige qui l'horripilait. La porte boisée se refermait derrière sa fine silhouette, ses pas la menant vers le hall de l'immeuble où elle résidait, ne prenant la peine de prendre un taxi cette fois-ci, laissant ses pas la mener vers ces ruelles plus animées en une soirée qui sans doute s'éterniserait pour elle. Des bars qu'elle effleurait, qu'elle venait à quitter sans aucun regret, concentrée sur son objectif jusqu'à rejoindre un énième, foulant de ses pieds le sol boisé, se laissant étreindre par les discussions animées et l'effluve des boissons alcoolisées. Le marron balayait la salle un bref moment jusqu'à cette scène où était entrain de se produire une silhouette masculine. Et les bruitages de cette salle devinrent infimes, ses prunelles se focalisant sur l'homme sur scène qui jouait de la guitare tout en laissant sa voix envahir la salle. Sa voix...Elle était chaude, envoûtante, magnétique et fascinante, lui faisant ressentir une myriade d'émotions qui lui coupait le souffle. Ses notes qui s'entrelaçaient, ce rythme qui la subjuguaient, la laissant immobile parmi les habitués jusqu'à la fin d'une chanson qui la sortait petit à petit de sa torpeur artistique. Un soupir s'échappait dans l'air, reprenant pieds avec la réalité, cherchant du regard cet inconnu qui avait réussi à captiver son attention, car elle n'avait aucun doute sur son talent, sur sa passion qu'elle percevait dans chaque note, chaque parole. Elle se faufilait dans cette foule compacte qui n'avait guère applaudie, si ce n'était que de façon absente, trop occupée avec leurs discussions sans entrevoir cette perle rare qui venait de se produire sur l'estrade dans un temps infime. Elle le repérait rapidement, installé au bar, entrain de boire un verre, un bar vers lequel elle se dirigeait de sa démarche féline, s'installant sur le tabouret libre à ses côtés, sortant de son portefeuille carmin un billet qu'elle glissait en la direction du barman. « La même chose que lui et la prochaine tournée et pour moi. » souffla t'-elle de sa voix chaude sans laisser le temps à l'inconnu de protester, le barman se dirigeant déjà vers les bouteilles alignées derrière le comptoir. Elle se tournait vers lui, laissant ses prunelles chaudes détaillées son être. Brun, aux prunelles émeraudes envoûtantes, à la musculature qui saillaient sous ses habits. Il avait un physique qui plaisait aux femmes et qui sans doute déchaîneraient ces dernières une fois sur scène. Une pointe carmine flottait dans ses veines, une étrange sensation la prenait, une sensation sur laquelle elle ne s’attardait, ses lèvres s'étirant en un sourire charmeur. « J'ai beaucoup aimée votre interprétation...Vous avez une voix très sensuelle. » Et le jeu de la séduction commençait, celui qui l’amènerait sans doute possible à ses fins.
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MessageSujet: Re: (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince)   (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince) EmptyLun 20 Mar - 21:18

     

Athéna ♦ Vincenzo

no one’s gonna fool around with us
T
es émeraudes glissent sur l'écran, souriant devant ses mots, cette relation qui continue de perdurer à travers le temps, un pseudo, un surnom et cette photo envoyait vingt ans plus tôt, il t'arrive souvent de te demander comment elle a grandit ce visage aux boucles blondes, un air plus déterminé, beaucoup plus mûre que sur ce cliché. En ce qui te concerne, tu as beau être impatient d'enfin connaître cette femme qui t'accompagne depuis tes déboires, tu passeras pour quoi ? L'image qu'elle connaît est fausse, celle de ton meilleur ami de l'époque, t'avais honte de ton physique si enfantin, n'ayant pas encore reçu les miracles de la puberté. Quand elle te soumet ce collègue qui lui plait bien, une petite pointe de jalousie se lit sur ton visage, tes sourcils se froissent, à quoi peux-tu bien prétendre, tu n'es rien d'autre que ce meilleur ami virtuel à qui elle s'est de si nombreuses fois confiée mais à part ça ? Comment pourrais-tu lui plaire, toi qui vis de ce que tu trouves, en ne respectant absolument pas les lois, volant pour te permettre de boire des verres ou de manger … une femme dans ce tableau n'irait pas, ta déesse comme tu aimes l'appeler mérite beaucoup plus que ça, un homme digne de ce nom qui la satisferait sur tous les tableaux, la comblera de toutes les richesses existantes sur cette Terre, parce qu'elle mérite tout ce qui a de mieux. La batterie de ton téléphone affiche 2% de batterie, le temps d'écrire un dernier message qu'il s'éteint, tu le ranges dans la portière avant de te couvrir d'une couverture, allongeant le siège pour être un peu plus à l'aise, une arme collé contre ta peau après tout on est en Amérique et à New York qui plus est.

Plus tôt dans la journée, en marchant dans ce quartier, tu as vu ce cadre noir et l'écriture blanchâtre d'une craie concernant une scène ouverte pour tous les talents souhaitant ce donner en spectacle, ce soir à 21 heures, une occasion de voir ce que tu vaux, et de boire au moins un verre, tu ne perdras pas ta soirée dans l’habitacle de ta voiture. Tu pénètres les lieux a une heure déjà bien avancé, il est dix heures et demi si tu te fixes à l'heure de ton téléphone que tu as rechargé dans un fast food du coin, un jean un t shirt et ta veste en cuir, tu t'avances jusqu'à la scène avec ta guitare.
La corde se met à vibre d'un mouvement de ton pouce, un geste que tu réitères un nombre incalculable de fois par semaine, tu as beau être sur une scène avec un public devant toi, le monde s’évanouit quand tu joues, il n'y a plus que les sons qui te parviennent, ton esprit partant dans ses mots glissaient sur le papier, des pages blanches noircies par l'encre d'un stylo retraçant des moments de ta vie, des émotions, des personnes. T'ignores si ses gens t'écoutent, mais ton corps ne peut s'empêcher de rejoindre une scène ou de se mettre à jouer qu'importe le lieu, si au moins une de ses chansons, une de ses phrases pouvaient transpercer l'âme d'une seule personne tu serais heureux. Il n'y a rien de plus beau que la musique, des sons différents délivré par des doigts bloquant diverses code, elle rend votre journée plus belle, vous enfonce dans ce passé si difficile, vous fait tomber amoureux, elle peut aussi vous faire danser, vous transcendez d'émotion, ou tout ça à la foi, c'est de la magie, que chaque musicien peut modifier à sa guise. Ta voix suit le rythme que tu joues sur ta guitare, elle inspire le désir, cet accent t'as beau être en Amérique depuis plus de dix ans, tu n'as pas le même accent que les Américains gardant en toi, ce pays en forme de botte, rendant tes mots quasi hypnotique, ce charme si particulier. Dans une lenteur proche de l'agonie, la dernière note disparaît dans l'air, tel la dernière bulle d'oxygène d'un poisson rouge avant de disparaître. Il n'y a pas beaucoup d'applaudissement voir même aucun, tu regardes autour de toi, ils sont tous en train de discuter, comme si tu les avaient ennuyer dans leur train train, ramassant ta housse de protection tu te hisses à travers la foule pour rejoindre le bar, posant l'instrument de ton talent entre tes jambes tu commandes une bière glissant la main dans ton jean, il te reste assez pour un verre. Songeant déjà à ta future victime, tu n'entends pas la femme commandait une autre tournée en ton honneur, c'est quand tu observes ce sourire et le verre une nouvelle fois remplie que tu comprends, pas la peine de faire ton ronchon, tu bois à l'oeil. « Je dois faire quoi en échange ? C'est assez rare qu'une femme offre un verre … c'est plutôt l'inverse. » ce geste te paraît suspect, il faut dire que la confiance aux autres, tu ne connais guère ça, il n'y a qu'en éra que tu l'as, et là encore elle n'est pas à 100% après tout ce n'est qu'un pseudo sur la toile de l'internet, qui peux me dire que toutes informations dévoilées soient véridiques ?Tu laisses ta bouche embrasser la matière pour venir savourer le parfum de cette bière artisanale, la mousse venant se poser quelques secondes sur ta barbe avant de rapporter ton intérêt sur cette femme à la chevelure brune, ondulant sur ses épaules, de longues jambes élancés que je peux apercevoir venant réveiller l'animal en moi, et ce besoin de chair fraîche. « Vous êtes la seule dans ce lieu alors …ça montre bien le peu de talent que je dois avoir. » les mots sortent, tu n'as pas la prétention de te prendre pour une super star si tel était le cas, t'en aurait certainement fait ta vocation depuis un moment. Ta main glisse sur son genou, la chaleur de ton épiderme venant s’accroître à ce simple contact « Vince, merci pour le verre, j'imagine que si vous m'accostez il n'y a aucun homme dans votre vie ? » un sourire charmeur vient se poser sur mon visage carré, mes doigts s'enfonçant quelque peu dans son membre, électrisant mon corps. C'est bien la première fois qu'une femme, te fait un tel effet, pourtant tu en as vu défilé devant tes yeux, ce qui te vaut cette réputation aux yeux d'artémis, ça te fait rire de lui raconter chaque fois les détails, les plus foireux bien sûre, tu es certain d'obtenir un petit rire à travers l'écran. Ta langue glisse sur tes lèvres sans jamais quitter son regard, observant ses formes qui se cache derrière ses vêtements.


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MessageSujet: Re: (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince)   (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince) EmptyLun 20 Mar - 23:20


athéna & vincenzo


Un fugace sourire étreignait ses lèvres maquillées de rouge face à la remarque du brun pour un verre qu'elle venait de lui commander, le sien rejoignant l'étreinte de ses doigts fins, coulant un regard vers le liquide doré d'une bière qu'elle vint porter à ses lèvres, en buvant une longue gorgée, un dépôt nacré se glissant sur son inférieure, une mousse qu'elle récupérait du bout de sa langue en un geste lent. Un léger tintement contre la surface boisée, un visage qui se posait à nouveau sur le sien où s'esquissait ce sourire charmeur et empli de malice. « Simplement me parler. » susurra t'-elle sans s'attarder, mirant les traits de ce visage esquissé de profil. Elle était là pour professionnalisme, mais...Elle ne pouvait nié qu'il exhalait un charme qui ne la laissait indifférente, un magnétisme qui l'attirait et la fascinait, malgré un coeur partagé, sentiments retenu captifs par cet inconnu caché derrière un écran, qui la connaissait mieux que quiconque, une relation impossible, une relation qu'elle essayait de fuir et d'enterrer dans ce métier qui était sa passion, dans les bras de ces âmes d'une nuit qui finissaient par se volatiliser aux premières lueurs du jour. Une profession qui parfois mêlait le plaisir si elle n'était intéressée, si elle savait qu'il n'y aurait de lendemain, ni d'avenir dans la musique...Mais lui, il était différent. Elle ne pouvait céder à cet érotisme qui s'installait entre eux, une tension palpable, une alchimie qui se liait d'un regard...Et pourtant...L'envie était là. Résistant. Elle haussait légèrement les épaules à sa remarque d'un talent qui n'était inné malgré ses propos, l'obscurité de son regard balayant rapidement les ombres qui emplissaient le bar, sans s'y attarder une seule seconde. « Beaucoup d'artistes n'étaient appréciés à leurs débuts avant de devenir des stars internationales. Ils ont commencés comme vous, inconnus, mal aimé avant d'être aduler par un public conquis. La musique est très souvent incomprise et n'est acquise que si on prends le temps de l'écouter, de s'en imprégner...Et je peux vous dire que votre voix m'a donné des frissons et une multitude de sensations. » Elle était étreinte par sa propre passion qui se reflétait dans l'océan où crépitait cette flamme rougeoyante, alimentée par la détermination mais également ce désir incontrôlé qui naissait du plus profond de ses entrailles. Un désir renforcé par cette paume qui effleurait son genoux, jusqu'à s'y poser, électrisant son être, éclaboussant son regard clair de carmin, son regard se posant sur cette main bouillante, l'emprise de ses doigts se faisant plus intense sur son épiderme, son regard se perdant dans le sien, un sourire félin glissant sur sa bouche, mais elle ne fit aucun geste, ne faisant qu'attraper son verre dont elle but de longues gorgées, instaurant un silence qui semblait s'éterniser. Son inférieure glissait entre ses ivoires, reposant le verre sur le comptoir boisé, frémissant devant ce sourire charmeur qu'il lui servait tout en se présentant, murmurant de sa voix rauque une phrase qui laissait échappé un léger rire. « Athéna. Hm...On ne sait jamais, peut-être bien que oui, peut-être bien que non. » murmura t'-elle d'une voix chaude en laissant le mystère entier. Il y avait bien cette illusion inaccessible, celle dont elle devait se défaire, celle dont elle cultivait son amour en secret, connaissant sa liberté et son indépendance, sachant qu'il n'était le genre d'homme à se lier à une femme si ce n'était que pour quelques heures de passion. Mais il n'était réel, simplement quelques mots derrière un écran, une photo qu'elle n'avait vu qu'une vingtaine d'années auparavant. Elle ne se laissait submerger par ses pensées contradictoires, se focalisant sur l'instant présent, mirant cette langue qui parcourait cette bouche charnue, l'attraction étant puissante entre eux et enflammée alors qu'il mirait ses courbes mise en valeur par sa tenue. « A ce que je vois, Monsieur sait ce qu'il veut. » Elle était provocante, soufflant ces sous entendus narquois tout en glissant le bout de ses doigts sur cette main toujours posée sur sa peau nue, jusqu'à y poser sa propre paume. Sa peau était douce, une sensation qu'elle caressait légèrement du bout de son pouce sans se défaire d'un regard qui l’obnubilait, son souffle se mêlant au sien en une légère caresse. Elle se rapprochait du rebord du tabouret, son visage n'étant qu'à une infime distance du sien. Il était si...Sexy. Si désirable. « Pour être parfaitement honnête...J'étais venue avec une idée bien précise en tête qui était tout autre que celle-ci. » Elle se mordait la lèvre sans cesser de le mirer de ses obsidiennes consumées par cet appétit vorace. C'était fou l'effet qu'il avait sur elle, faisant ressortir cette envie de luxure qu'elle n'étreignait que dans la nécessité. Mais le chauffer lui apporterait-elle satisfaction autant sur le plan professionnel que personnel ? Des questions qui s'enlaçaient dans un esprit tourmenté, des questions qui n'avaient besoin de réponse en cet instant alors qu'elle faisait glissé légèrement la main du brun sous le rebord de sa jupe, ne laissant que les bouts de ces derniers étreindre le dessous du tissu fin, l'animalité ressortant sur ses traits, oubliant presque la raison première qui l'avait poussée à le rejoindre au comptoir, mais ne pouvait-on pas allier passion et plaisir pour obtenir ce que l'on désirait ardemment ? Sans aucun doute.
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MessageSujet: Re: (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince)   (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince) EmptyLun 20 Mar - 23:27

     

Athéna ♦ Vincenzo

no one’s gonna fool around with us
C
'est donc ça la vie ? Être né quelque part et espérer pouvoir partir ailleurs un jour ? Et comment ça se passe quand on y parvient pas ? On reste au même endroit et on attend tranquillement d'étouffer ? Ce n'est pas la vie que je veux. Moi je veux vivre d'amour, de rencontres et de paysages à couper le souffle. Je veux des grands espaces verts, des fonds marins plus beaux qu'en cartes postales, des feux de camps tardifs, des rires qui fusent, un tas d'albums photos, des je t'aime dits droit dans les yeux, des fêtes de fin d'année sous 30cm de neige, des sensations fortes et des silences assourdissants... Je veux des souvenirs, je veux pouvoir dire que je ne changerai ma vie pour rien au monde. Je ne veux pas me contenter du minimum, le temps défile à cent à l'heure et il y a trop de choses à voir pour que je reste à la même place. J'en ai vu des visages, j'en ai connu des rires. Je peux encore mettre un nom, une odeur ou une date sur chacun d'entre eux. La vie est une suite de rencontres en tout genre. Certaines nous marquent au fer rouge, d'autres sont faîtes pour ne durer qu'un temps, certaines nous chamboulent totalement et changent la suite de notre parcours. Malheureusement les liens que l'on créent et les souvenirs que l'on en garde finissent tous de la même façon : tôt ou tard ils se transforment en poussière, nous glissent entre les doigts et s'envolent loin, très loin dans les cieux... Et c'est ce qu'on appelle les étoiles. Je n'ai jamais connu mes géniteurs, et au cour de mes voyages, je m'amusais à les imaginer dans chaque physique qui s'arrêtait pour venir m'écouter, me glissant une pièce. J'ignore comment je réagirais si un jour, l'un des deux se présentait à moi, mais soyons réaliste, c'est impensable, irréalisable. Un peu comme cette relation entretenu depuis vingt ans, avec ce pseudo, ce visage qui a certainement changé depuis le sable écoulé dans ce sablier virtuel, si il est réel, je ne serai même pas capable de la remarquer si elle était présente dans un bar, ou dans la rue, même à quelques centimètres. La journée est passé une nouvelle fois à une vitesse folle, c'est étrange de ce réveiller dans les rues de New York depuis deux années, alors que d'habitude il ne se passais pas plus de deux semaines avant que l'ombre de l'impala quitter l'endroit, prenant plaisir à aller découvrir de nouveaux paysages. Et pour une fois aujourd'hui j'ai l'impression de ne pas avoir été productif, me  rattrapant  demain, l'argent vient à manquer, et je n'ai pas le luxe de me permettre. Forcément cette belle brune au regard de braise et à l'allure dur tombe à pic, ma langue glisser dans le liquide mousseux alors qu'elle vient me suspendre à ses mots, une passion pour la musique que je ressens dans chacune de ses paroles, venant excité mon corps. « si ma voix vous a donné des frissons, je ne vous laisse pas imaginez le reste. » la séduction, elle est dans ton adn, le stéréotype de l'italien, mais en même temps, la femme est une divine créature rendant n'importe quel homme accroc et stupide en sa compagnie, surtout quand elle a un corps aussi tentateur que celui de cette femme qui porte un nom grec, jamais avant aujourd'hui un prénom aussi original avait rejoint mes oreilles, assez dur à porter, la déesse de la guerre. « je ne suis pas jaloux. » un souffle chaud s'envole en sa direction alors que ma main posait sur sa cuisse monte et descend doucement, ses yeux t'ensorcellent, comment empêcher son propre esprit fantasmer sur une langue que j'aimerais venir goûter, de sentir la chaleur de son corps contre le mien, de venir humidifier son coffre aux plaisirs. Sa voix reflétait autant la provocation que la mienne, des sous entendu qui ne pouvait pas cacher une envie d'aller plus loin, elle me chauffait, à son tour, je ne me leurrais pas … cette potentielle question prit fin lors que son pouce vient rejoindre ma main, une pulpe douce qui m'éloigne de cette bière bien entamé que je repose sur le bois lorsque je me sens guider vers des valons plus discret, attirant. On a beau être dans un lieu public, je me permets un comportement qu'en temps normal je ne fais pas. Pas devant autant de yeux en tout cas, et pour ne pas attirer trop les voyeurs vers nous je viens me placer entre ses cuisses, plaquant mon torse contre ce buste bien rebondit, la prunelle de mes yeux s’agrandissant sous un tel désir naissant, venant contracter chacun de mes muscles, ainsi qu'une virilité se trouvant assez à l'étroit derrière ce jean. « Faut savoir être ouverte d'esprit mademoiselle ...ou madame qu'importe votre titre. » Mes doigts effleurent doucement ce tissu, dont je sens ce gonflé sous mon touché la pétale, j'affiche un sourire remplie de contentement et à la fois de défi, je prends un plaisir malsain à venir faire monter en elle l'envie de lui faire toucher les cieux. C'est assez difficile en ce qui me concerne d'agir ainsi, de m'occuper de la jeune femme sans rien avoir en retour, mais pour l'heure je me satisfait juste de ça, le bout de ma langue vient toucher cette bouche inconnue imbibé de ce liquide blond glissant sur tout son long tandis que  mon pouce vient se presser contre cette arc tendu, venant humidifier à chaque minute ce tissu de l'accroissement de cette excitation dont j'en étais responsable. Un jeu de doigts contre ce tissu faible, cette barrière qui n'en était pas vraiment une pour le coup. Ma bouche vient se saisir enfin de ses lèvres, ma langue venant épouser parfaitement la sienne, mes paupières se closent sans que je ne m'y attende jouant les aveugles, je me fis qu'aux sensations ressentis, à m'en faire perdre la tête, je romps brusquement ce baiser, avant de mourir d'hypoxie. Mes émeraudes venant s'inscrire à l’intérieur de ses perles. « Ce changement de programme vous convient-il ? » un demi sourire se fixent sur mon visage carré, c'est plus fort que moi, il faut que je montre mon côté sur de moi. Ne bougeant pas d'un pouce, un pouce qui continue son travail, s'arrêtant et reprenant promptement. Oui ça me plaît, de mener la danse.


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MessageSujet: Re: (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince)   (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince) EmptyLun 20 Mar - 23:33


athéna & vincenzo


Le désir la déchirait, l’amenuisait, un désir qui avait guidé ses doigts sous sa jupe noirâtre en un geste qui n'était anodin, en un geste emporté par la folie et ce plaisir qui se distillait dans ses veines et ses pupilles. Le regard du brun sombrait, l'émeraude flirtant avec l'ébène et le carmin, deux teintes palliés à ce désir qui s'affichait derrière son jean. Un geste qui en guidait un autre, l'homme se redressant pour venir se placer entre ses cuisses, son torse se plaquant rudement contre son buste. Son souffle se raréfiait dans ces poumons compressés et en manque de cet oxygène qui lui était vital, ses doigts parcourant la faible distance qui le séparait de cet éden encore préservé par ce simple morceau de tissu, en effleurant la texture, un frisson violent s'insinuant dans son être, ses ivoires s'enfonçant dans son inférieure sans quitter cette mer émeraude du regard, reflet de ses propres tourments. Ses doigts jouaient, pianotaient, la taquinant, la provoquant, faisant monté ce désir incandescent en elle. Ses doigts s'enfonçaient dans son bras, sa pression artérielle s'accroissant, son souffle rebondissant contre cette bouche charnue dont la langue s'extrayait d'entre ces lèvres tentatrices, venant glissée sur les siennes avec une lenteur exaspérante, y cueillant les quelques perles dorées d'une bière dont elle avait bu quelques gorgées quelques minutes auparavant.  Le temps s'était figé, les silhouettes, les sons, seul ce désir qui empoisonnait ses veines et qui irradiait dans chacun de ses pores de son épiderme comptait en cet instant, un ébène qui renforçait ses prunelles sombres, l'orage naissant au plus profond de ses iris. Une bouche dont il vint prendre possession avec bestialité et impatience, une baiser ardent et animal, une danse luxuriante, un tango que leurs langues dansaient, cherchant à infliger la domination à l'une et l'autre, des gémissements étouffés se perdant sur ce muscle rosé, ne fantasmant plus que sur cette absolution et cette délivrance et elle souriait félinement contre ces lèvres qu'elle maltraitait, qu'elle rougissait, qu'elle mordait vivement, sentant le septième ciel être proche...Mais pas ainsi. Pas ici. Elle mordait plus vivement son inférieure, une perle carmine s'échappant de cette légère blessure, une perle qu'elle vint cueillir de sa langue avide tout en enfonçant ses doigts plus profondément dans son dos, lui faisant stoppé ainsi ce geste qui la mettait au supplice et l'approchait de la folie, lui faisant oubliée un temps que ce coeur était torturé par une autre âme masculine, qui lui était inaccessible. « Viens. » Son ton était chaud et envoûtant, repoussant sa main en se laissant glissé du tabouret, ses doigts étreignant les siens, traversant cette foule qui n'était plus que floue, qu'un mirage, une illusion, sortant de l'établissement, même la caresse plus glacée de la brise sur sa peau n'arrivait à calmer ce feu qui la consumait intérieurement. Et elle se dépêchait, ses talons claquant contre le bitume, devant résister pour ne pas glisser dans une ruelle et se laisser aller à ses pulsions primaires, à son animalité. Le bâtiment aux briques grisâtres se dessinait, celui où était camouflé son appartement, une porte qu'elle poussait, un bouton qu'elle pressait pour appeler cet ascenseur qui la mènerait au quatrième étages, la porte métallique se refermant sur leurs corps en combustion. Et il la pressait contre la paroi, la torturant de ses lèvres, des gémissements se répercutant en écho dans cet espace réduit, la fermeture éclair de son blouson glissant lentement en un vêtement qui était de trop. Un léger tintement, un ascenseur qui se stoppait, l'extirpant de cette brume érotique, l’entraînant à sa suite mais il reprenait ses lèvres avec une ardeur non dissimulée, la rendant folle de désir, la plaquant contre une porte boisée qui était celle de son appartement, sentant ses doigts effleurés son buste pour glisser dans la poche de sa veste, un léger cliquetis, une porte qui s'ouvrait dans son dos et elle reculait, pénétrant son intimité. Elle bouillonnait, esclave de ces sensations qui l'assaillaient, reprenant la bouche du brun avec une certaine ardeur, le blouson glissant le long de ses épaules pour atterrir au sol, de même que sa veste, le brun glissant ses paumes sous ses cuisses, la soulevant soudainement, ses jambes enlaçant sa taille, son bassin percutant le sien en ce désir qui se dessinait sous le tissu rêche de son jean. Il n'y avait plus que l'envie qui primait, l'envie de lui faire l'amour, l'envie de ne faire plus qu'un, l'envie d'oublier le temps d'une nuit les sentiments ressentis. Elle le sentait s'avancer, son dos cognant légèrement le mur, un rire légèrement moqueur se distillant contre cette joue où elle enfonçait ses ivoires, murmurant d'un timbre chaud à son oreille. « La chambre est au fond du couloir. » La porte était ouverte, dévoilant cette dernière où résidaient quelques habits et sous-vêtements d'une journée passée et envolée, une journée qui n'avait plus de sens quand elle voulait goûté à cette étreinte nocturne, suçant le lobe de son oreille tout en frottant vivement son bassin contre le sien.
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MessageSujet: Re: (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince)   (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince) EmptyLun 20 Mar - 23:36

     

Athéna ♦ Vincenzo

no one’s gonna fool around with us
I
l avait suffit d'un regard, d'une bière offerte pour que je parvienne a obtenir ce besoin charnel, une attirance physique né subitement, dont mon besoin perpétuelle de femme m'aurait trouvé n'importe qui il avait fallut sans que je ne le sache encore, tomber sur celle que je considérais comme ma meilleure amie, la seule personne que je connaissais depuis ce qui me semble être une éternité et qui jamais ne m'a tourné le dos qu'importe si elle ne connaît ni mon prénom ni mon visage. Tout ce que je savais à cet instant c'est que cette femme à la chevelure corbeau n'avait pas froid aux yeux, et il ne fallut pas plus que sa main glissant la mienne jusqu'aux abysses de son joyau pour triplé cette envie de luxure, c'était assez excitant d'entamer des préliminaires dans un bar remplie d'inconnus avec une femme que je ne connaissais que depuis quoi cinq minutes ? Les choses allaient vraiment à une allure déconcertante à New York. Mais je n'avais pas pour autant envie d'être remarquer, aussi  rapprochais-je mon corps assez près pour qu'on ne distingue rien de mes gestes, la poussant à toucher le paradis, Athéna plongeant ses dents dans ma lèvre inférieur y laissant une perle rouge couler qu'elle vient happer de sa langue accompagné ce geste de doigts venant fendre mon dos, un geste banal qui ne faisait qu’accroître cette envie de la prendre-là maintenant, à croire qu'elle lisait dans mon esprit, m'invitant à la suivre, je n'eus juste le temps de récupérer ma guitare que déjà elle m'emportait dans une vitesse digne d'un célèbre super héro dans un dédale de rue jusqu'à rejoindre un bâtiment que mon corps pénétrait le porche pour nous glisser à l'intérieur d'une boite en fer. La chaleur du désir endiablé tout mon être, le temps avait beau filé entre mes doigts, ce besoin primaire, animal lui ne se dissipait pas. Je plaque ton corps contre cette parois métallique, vient prendre possession de tes lèvres une nouvelle fois depuis le bar, mes mains glissent sur ton corps à une vitesse folle, venant presser ce morceau de chair tendue, le liquide du plaisir ayant laissé son nectar sur cette dentelle tandis que je m'attaque à mordiller ardûment cette bouche pulpeuse. Tout mes sens sont en éveille, prêt à plonger dans l'âtre de Satan, la sonnette indiquant l'étage retentit et c'est en la guidant que nous parvenons jusqu'au panneau de bois, sans se détacher une seule seconde, son corps se plaque contre une porte, la sienne, mais tu la laisses pas ouvrir, laissant tes ivoires rejoindre son cou à laquelle je m'attaque avec un plaisir non dissimulé. Mes mains glissent sur ses monts laiteux à la recherche d'une poche, t'en profite pour palper délicatement cette poitrine charnue avant de trouvé le sésame ouvrant son intimité, la porte se referme aussi vite qu'elle n'a été ouverte, déposant l'étui de ma guitare, rapidement ma veste et la sienne se retrouvent au sol, mes doigts viennent s'enfoncer sous ses fesses pour la soulever du sol, ses jambes encerclant ma taille. Son triangle du plaisir qui percutait ma virilité, l'impatience me gagnait d'avantage, la cognant contre un mur, ce qui l'a fit rire, sa voix vient se glisser à mon oreille, son timbre est chaud, envoûtant, la punition de cette moquerie n'est rien d'autre que cette langue venant franchir cette barrière, marchant à tâtons la chambre apparaît enfin sous tes émeraudes. Son corps rejoint le matelas, mon polo rejoint le sol, je ne te laisse pas le temps de faire quoi que ce soit que je remonte ta jupe en jean, me débarrassant de ce tissu qui a été l'unique témoin de ce plaisir monté comme une mayonnaise.  Ma bouche s'approche de ce bourgeon gonflé, vient le titiller, y déposer mon souffle chaud pour lui faire perdre  la tête, ton visage remonte tout en douceur, plaquant ton torse contre ce buste, une main venant déboutonner cette jupe en jean pour l'en extraire alors que ses mains coulent sur mon torse comme de la pluie, c'est tellement agréable, ton arc s'appuyant contre son jean vient taper ce triangle de plaisir. L'ombre de l'animal vient naître dans mes pupilles, mais elle est tout aussi agile qu'une panthère, prenant le dessus sur moi, comme pour me faire payer cette affront dans le bar, ce supplice la rapprochant du bonheur absolument, songeait-elle à se venger ? Ou juste libérer mon phallus et observer sa grandeur avant de s'introduire dessus. T'entend l'écho de ton pouls, il n'a pas le même rythme, cette femme est un démon, dont je prends plaisir à connaître, glissant mes mains dans son dos pour y libérer ses boutons vanillés sous ce chandail, des doigts qui s'enfoncent dans son épiderme y laissant une marque rougeoyante, ma bouche vient mordre sa joue au début avant que ma langue vienne taquiner ses lèvres, caresser la sienne, une dernière séance de préliminaires jusqu'à lui faire l'amour. Plonger dans ses nappes de plaisirs charnels, sentir venus rencontrer mars. Des râles de plaisirs se perdent dans ses sphères humides … les paupières se fermant quelques secondes.




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MessageSujet: Re: (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince)   (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince) EmptyLun 20 Mar - 23:41


athéna & vincenzo


Une porte franchie, l'astre lunaire diffusant sa lueur bleutée dans la pièce, seule lumière qui aidait à diriger l'homme qui la soutenait contre son corps bouillant, leurs lèvres ne cessant de se batailler, tout comme leurs langues avides de ces sensations qui étreignaient leurs êtres tendus. Son dos épousait la surface du matelas, ses ivoires s'enfonçant dans son inférieure en mirant le brun au dessus d'elle se défaire du polo noirâtre qui habillait son torse, un torse sur lequel elle laissait traîné son regard félin, détaillant sa musculature parfaitement esquissée, une musculature qu'elle souhaitait explorée de sa langue, de ses lèvres et de ses ongles, mais il ne lui en laissait l'occasion, ses doigts attrapant vivement sa jupe en jean, la remontant jusqu'à son bassin, se débarrassant du tissu qui préservait son intimité. Un souffle qui devenait saccadé, une respiration envolée, un gémissement s'extrayant de cette bouche mutilée, la folie s'emparant de son être, filant dans ses veines extasiées face à ses lèvres qui ne faisaient qu'effleurer cette perle de plaisir, ce souffle qui s'y répercutait, la faisant frémir avec violence, ses doigts s'enfonçant dans les couvertures défaites de ce lit où elle était retenue captive par ses soins. Un visage qui rejoignait le sien, son buste effleurant ce chandail aux monts tendus par le plaisir, la jupe n'étant plus qu'un souvenir éparse, ses doigts parcourant les rainures de ces muscles secs, ses ongles s'y enfonçant légèrement, sans pour autant y laisser une quelconque marque. Elle happait son inférieure entre ses ivoires, la suçant, la torturant, lui faisant l'amour en les prémices d'un acte qui suivrait dans de longues minutes pleine d'agonie sexuelle. Un cri qui se perdait contre cette bouche charnue, un bassin qui se pressait avec violence contre le sien, l'envie embrumant cet océan enflammé, une envie qui distillait ces cristaux ébènes dans le topaze de ses prunelles. Ses paumes s'enfonçaient dans ses épaules, le faisant basculé en dessous d'elle, lui donnant ainsi cette position de dominatrice qui était très souvent sienne. Un sourire félin s'esquissait sur le carmin de sa bouche mutine, ses doigts glissant le long de son torse avec une lenteur exaspérante, son chandail disparaissant sur le sol de la chambre, de même que ce soutien qui libérait les joyaux nacrés sertis de ces bourgeons foncés qui se tendaient en un désir qui la consumait intérieurement. Des gémissements qui se perdaient contre son épiderme, une bouche qu'elle prenait avec animalité en plaquant davantage sa féminité contre sa masculinité. Un baiser qui devenait sensuel, suave, une langue qu'elle enfermait entre ses lèvres, une bouche qu'elle relâchait tout aussi lentement, laissant leurs souffles s'étreindre pendant quelques secondes, un regard qui se glissait dans l'émeraude, ses doigts venant défaire son jean qu'elle lui retirait tout en se redressant sur son bassin, en faisant de même avec son boxer qui camouflait l'objet de son désir qui était la preuve de l'étendu de son désir à son égard. Les ivoires se dévoilaient dans ce sourire teinté de provocation et d'envie, la lave s'esquissant dans ses pupilles, un regard qu'elle posait quelques instants sur son visage pour ensuite s'abaisser au niveau de ce membre qui tressautait sous son souffle brûlant. Une peau fine qu'elle caressait avec lenteur, se laissant bercée par les râles rauques de son amant qu'elle percevait légèrement dans cette brume rougeoyante. Une caresse infime. Avant de plonger, de goûter de ses lèvres cette sucrerie, de laisser sa bouche se mouver sur cette dernière en des gestes lents, calculés, ne voulant simplement que le chauffer, que l'approcher du précipice. Elle sentait ses doigts glissés dans sa chevelure ébène, usant de sa langue contre son épiderme sensible, y enfonçant légèrement ses ivoires, sentant qu'il était proche de la jouissance, mais elle ne lui laissait cette dernière, se retirant en lui coulant un clin d'oeil provocant , ses cuisses effleurant ses hanches, son bassin effleurant le sien, ses lèvres venant se plaquer rudement contre les siennes, la pulpe de ses doigts effleurant ce membre au supplice qu'elle guidait vers sa source de plaisir. Elle sentait la raison la perdre au moment même où elle s'unissait à lui dans la chair, un gémissement se perdant contre ses lèvres, contre cette bouche qu'elle reprenait de plus belle en commençant cette danse lascive et lente contre son bassin, une bouche qu'elle mordait avec envie tout en le torturant dans ses mouvements qui n'avaient rien de sauvages ni d'effrénés, l'amenant petit à petit à rejoindre cette damnation et cet enfer dans lesquels son âme était déjà entrain de brûler à vif.
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MessageSujet: Re: (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince)   (2016) (hot) ☆ no one’s gonna fool around with us (vince) EmptyLun 20 Mar - 23:43

     

Athéna ♦ Vincenzo

no one’s gonna fool around with us
T
elle des notes de musiques, chaque mouvement que nous échangeons résonnent comme une mélodie dans mon esprit, seul le rythme change, comme lorsque mes mains se baladent sur les cordes de ma guitare, je suis autant inspiré proche de cette folie qui m'habite quand mes mains parcourent le corps d'une de ses créatures me rendant accroc aux plaisirs corporels, mais de toutes mes conquêtes rencontrés ici et là à travers le pays il n'y en a pas une qui l'égale, cette Athéna. Audacieuse, elle est loin d'avoir froid aux yeux, on n'a pas prit la peine de se parler beaucoup mais je sens dans mon corps une certaine symbiose assez rare, persuadé qu'elle fera une excellente partenaire de jeu, je l’emmène presque toucher les étoiles avant qu'elle repousse cette main et m’emmène dans sa demeure, j'aurai été assez mal barré si elle aurait souhaiter le mien, sachant qu'il s'agit d'une voiture … bien que j'aurai bien trouvé un échappatoire. Je suis aimanté par ses lèvres imbibés d'alcool et de ma propre odeur, sa bestialité ne fait qu’accroître ce désir et d'alimenter inévitablement ce feu ardent qui se consume au fond de mon être. Mon souffle se raréfie au bout des bronches, cette oxygène qui est si importante pour respirer, elle me l'aspire à chaque tango avec son muscle humide que j'explore dans tous les sens, m'amusant même à l'aspirer. Tout mon être est au supplice, allécher par ce corps, ses jambes autours de ma taille, ces baisers si intense qui bascule de la bestialité à l'effervescent me font perdre pied, heurtant presque le moindre objet ou mur se trouvant sur mon chemin, impatient de découvrir plus en profondeur, sans aucun témoin, ce corps bien trop habillé pour le moment, dont j'en avais eut un léger aperçu dans ce bar. L'humidité que j'avais travaillé ne quitter pas mes songes, ne souhaitant que continuer là où je m'en étais arrêter, reprenant cette torture mais à croire que la jeune femme avait prévu un autre chemin, prenant le dessus alors que j'avais quelques peu titillé cette fleur dont le plaisir était visible de mes émeraudes, ou cette langue avait goûté ce doux nectar elle m'avait à mon tour plaqué contre ce matelas son corps dénudé éclairé par les rayons de l'astre lunaire. Une toile vierge de toute encre noirâtre ou coloré devenu à la mode, qu'un milliard de personnes posséder, dépensant plusieurs billets pour se voir graver un héro de fiction, des phrases de chansons ou tout autre motif qu'ils aimaient. Mes doigts se mettent à parcourir ce buste dont les vallons pointent en ma direction, confirmant ce désir qui n'avait pas décru entre le lieu de notre rencontre et son lieu de vie, la pulpe de mes doigts vient tracer quelques cercles autour de ses auréoles tandis que tes mains descendent sur mon jean que tu t'empresses de retirer, et avec lui ce boxer libérant ma virilité au summum de son excitation, un drapeau hissé sur ce mat dont tu t'empares sans ménagement, déposant son épiderme dessus dans une lenteur me rapprochant de l'agonie, échappant de mes lèvres un soupire rauque, avant de comprendre qu'elle n'en avait pas fini et qu'elle allait me faire payer ce que je lui ai fait subir sur ce tabouret, sa bouche vient englober ma chair, un automatisme, une main que je glisse dans sa chevelure raide, parmi cette tresse, mon sang fusait à l'intérieur de mes veines tout comme cet organe qui tambourinait enfermer dans cette cage, elle se jouait de moi, de ses mouvements lent qui ne faisait qu'intensifier l'animal. A chaque mouvement de langue sur cette pièce sensible, je me sentais un peu plus plonger dans ses eaux agités, des expirations dû au plaisir lâché dans un temps beaucoup plus proche, tu le sais que je suis à deux doigts de lâcher l'ultime coup de grâce, c'est ce moment que tu choisis pour planter tes crocs dedans me faisait un petit peu redescendre, un regard remplie d'éclair, ce jeu de domination s'installant depuis que nous ayons franchi le seuil de sa porte en bois. Ma virilité que tu reprends entre tes doigts et je m'attends à ce que tu me rapproches de nouveau dans une folie qui me ferait perdre la tête, des préliminaires que tu t'amusais à faire durer … or, non, l'intention je la comprends quelques secondes après quand je sens la chaleur envahir ce muscle chaud comme l'enfer, tu te glisses dessus et mon dieu que tu es si désirable dans cette posture, tu viens perdre un gémissement contre mes lèvres roulant sur le côté je reprends le dessus, mes mains encerclent ton visage tandis que je laisse glisser mon sexe de tout son long dans une lenteur si exaspérante que je la sens se mouvoir sous mon corps, désirer plus, mais pour l'instant c'est le rythme que je lui réserve, j'aime entendre chaque note lorsque mon instrument glisse sur ton clavier. Tes mains se posent sur mes fesses, tes ongles s'y enfonçant pour que je vienne te posséder de tout mon long, je laisse échapper un petit râle entre tes lèvres avant de te posséder dignement, avec force, bestialité, ajustant celle-ci comme une sérénade, mon corps vibre de chaque impulsion, un sourire s'affichant sur mon visage fier de l'effet que je provoque, mes doigts glissent entre tes mains pour les serrer quand j'entame le voyage final, te faisant glisser dans cette vague de désir, ta voix venant s'étouffer dans le creux de mon oreille, ce qui je dois l'avouer m'excite de nouveau, souhaitant de nouveau commencer. D'ailleurs mon corps reste contre le sien, l'élongation encore dans ta caverne aux milles et unes merveilles. Ma langue vient tacler ta lèvre, l'empoignant quelques secondes avant que mes lèvres ne glissent comme une plume vers son oreille. « C'est tout ? Petite joueuse ... » je me plais à la provoquer, à voir jusqu'où elle est capable d'aller, jusqu'où elle veut se donner, une rencontre peu commune, une femme qui vient de me faire toucher la lune comme jamais, je ne compte pas partir déjà, ton buste se redresse sur elle glissant cette mâchoire venir titiller ses bourgeons de ta parfaite dentition.




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