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| Sujet: (mais vrai ! j'ai trop pleuré. les aubes sont navrantes) Ven 7 Avr - 20:57 | |
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firenze giovonni "take my heart away" © GIF/citation- nom complet : firenze giovonni. plus italien, meilleur reflet de ses origines, il n'y a pas. quant au prénom, ils ont appelé l'aîné leone, le lion, le deuxième lupo, le loup, mais ils auraient tout aussi bien pu l'appeler le hamster. en effet, il est possible que ce nm vienne tout droit de fiore, fleur, en italien. en plus d'être le reflet de la ville dont sont issus les giovonni. - âge : 24 ans, et pourtant, on a toujours ce doute, en le voyant. parce qu'il a l'air sans âge. parce que ça dépend de ses cheveux, de ses sourires, d'où se perd sa bouche. - origines et nationalité : italien. cela se voit. cela s'entend, dans ses expressions. et puis il a toujours ces grands gestes, si caractéristiques, quand il parle. - profession : il est pianiste et chanteur de jazz. sa voix part partout, sa bouche délivre des plaisirs si différents qu'on ne croirait pas que le chanteur de jazz à la voix rauque puisse être celui entre vos cuisses, ou celui qui délivre tant de gentillesses. - statut civil : célibataire, cœur d'artichaut, cœur nu, déshabillé, en papier cigarette. et il dit merci quand vous le déchirez. - situation financière : $$, merci mama qui lui envoie de l'argent, en silence, en secret, juste pour qu'il puisse vivre ce joli rêve de musique. - traits de caractère : il est gentil. profondément, résolument gentil. il est de ceux dont on dirait qu'il ne ferait pas de mal à une mouche. il est rassurant, il est protecteur. il veut que les gens qu'il aime, de tout son cœur, soient toujours à l'abri, soient toujours heureux. et s'il faut il donne un bout de cœur abîmé à ces cœurs détruits, comme une bouture, comme un futur bourgeon. c'est un cœur d'artichaut, il ne tombe pas amoureux des physiques, ou des paroles. il tombe amoureux de ressentis fantômes, de préjugés, de premières impressions, de sourires, de regards fuyants. un rien le fait tomber amoureux. il est naïf aussi. quelques paroles en l'air et il sera à vos pieds. il ne fera pas tout et n'importe quoi, mais il croira, que vous êtes la bonne personne. et même s'il se durcit, même si la porcelaine devient céramique, il sait qu'il est toujours le même, au fond. - groupe : in the moment. climbing uphill—- en quelques lignes, à quoi votre vie ressemblait-elle il y a cinq ans ? sa vie il y a cinq ans, c'était sunshine, et darling, et puis sweetheart, mais en secret. sa vie il y a cinq ans, c'était sa mère, le piano, les chansons, et un père qui l'ignore. - depuis ce jour quels ont été les amélioration et les déclins dans votre vie ? leone est mort, lupo l'a remplacé, et il a dû remplacer lupo. seulement, sesq grandes mains de pianiste ne sont pas faites pour tenir une arme, et il ne voudrait pas tâcher son instrument de sang. alors il a fui. il est arrivé à rockland, maman l'a aidé à s'installer, maman l'a encouragé à se cacher. l'homme droit prend le maquis. il y a eu son petit cœur de porcelaine en pâte à modeler brisé, une dizaine de fois. parfois deux fois par la même. mais il est le même. - quelles sont vos principales motivations dans la vie ? son piano, sa musique, et l'espoir qu'un jour quelqu'un voudra bien de son petit cœur en charpie, qui tient à dieu sait quoi. juste un fil. juste un petit fil, minuscule, mais doré et -il l'espère- indestructible. - pour vous, qu'est-ce que rockland représente ? sa madonne, la sauveuse de son âme désespérée et tourmentée. il n'ose pas imaginer ce qu'il lui arriverait si son frère et son père mettaient la main sur lui. il se sent en sécurité ici, personne ne viendra le chercher. c'est son anonymat, sa survie, et il y tient beaucoup. - placez les termes suivants dans l'ordre d'importance, selon vous: famille, amitié, amour, argent, estime de soi, carrière. amour, amitié, carrière, famille, argent, estime de soi. - imaginez et décrivez nous une vie idyllique. une vie où il aurait trouvé la bonne personne, où il réussira à construire quelque chose de durable. une vie où il n'a plus à se cacher, de rien ni de personne, et où il pourrait vivre pleinement de sa passion. - quels sont vos voeux et vos envies pour les cinq prochaines années ? ramener sa mère avec lui, trouver la personne à qui son cœur a toujours été destiné, vivre sans avoir mal, arrêter aussi, peut-être, de tomber amoureux si vite comme un enfant. et chanter, toujours, encore, ne jamais arrêter. i'll be there soon—regarde ce gars, là bas, cette grande perche, avec son air de t'sais pas quoi, qui donne l'impression d'venir d'on ne sait où, d'venir d'la lune, d'un autre monde. avec ses ch'veux trop longs et son sourire léger. cet air qu'ont les gens qui savent, qui connaissent, et qui découvrent. l'air des marins qui r'viennent de trois mois d'mer, l'air iodé, l'air travaillé par le soleil. il en a vu beaucoup. il a aussi l'air de ces gens qui restent longtemps assis dans les stations de métro à attendre personne sait quoi, attendre quelqu'un, attendre une personne en particulier ou quelqu'un que personne n'est. il a l'air d'un gamin, avec ce sourire, avec cet air de tout découvrir de la vie, il a l'air de se réjouir de la musique qu'on entend au loin, il a l'air d'être content de ce qu'il voit. il a l'air d'être heureux de vivre dans cette ville moyenne, avec des gens communs. il a l'air heureux d'être là. finalement détourne les yeux, il est chelou ce gars. écoute le piano, qu'il caresse comme on caresse une fille pour la première fois, avec douceur, avec respect, avec beauté, avec émerveillement et une adoration religieuse. écoute cette voix rocailleuse qui s'élève, un peu hésitante, comme si elle ne savait pas si elle a vraiment le droit de s'élever si haut vers le plafond, si haut vers le ciel, si haut vers nous. écoute ces mots que tu n'comprends pas, écoute ces phrases mélodieuses qui sonnent comme un autre instrument. écoute cette respiration un peu hachée, un peu coupée, un peu fragilisée par tu n'sais pas quoi, mais personne d'autre ne le sait. écoute cet accent italien, qui chante autre chose, quelque chose d'aussi beau, quelque chose qui s'accorde à son chant. écoute le silence qui s'est abattu dans la salle. écoute ce silence religieux, écoute les conversations s'éteindre pour n'écouter que lui. lui et son piano, lui et sa douceur, son respect, son adoration mystique. goûte ses lèvres délicates, leur parfum de vanille ou d'épices, ou de c'que tu veux, ça dépend ce que tu veux y goûter. c'est pas un gars, c'est un jardin, c'est la porte d'un paradis qu'tu cherches depuis bien trop longtemps maintenant. goûte sa peau, si fine sous tes lèvres, on croirait qu'il va s'briser, c'grand gaillard trop grand pour toi. il a l'air fragile sous les caresses de ta langue, cet espèce de caïd des rêves doux, t'as l'impression d'avoir un novice entre tes bras, non plus un paumé, non plus un chanteur de jazz. pourtant il est délicieusement expérimenté, ce novice. goûte ses gémissements, bois-les à la source, comme si c'était la dernière chose dont tu pourras t'abreuver avant un millénaire, bois-le, dévore-le, fais le tien. il se donne à toi, entièrement, alors profites en. sens l'odeur de basilic, de terre sèche, et de pluie de ses cheveux. sens l'italie, sens la rue, sens la cigarette, sens l'amour, partout. cette odeur de roses, de chocolat, d'épices, de safran, de cannelle. sens l'ivoire qui a laissé une trace éternelle sur le bout de ses doigts. sens le bois ciré qui a trouvé refuge dans le creux de son cou, comme une eau de toilette, comme un parfum secret dont on attend qu'il soit découvert. sens l'humidité et la crainte qui se dégage parfois de lui, soudainement, en grandes vagues, sans réelle raison apparente. sens l'odeur iodée qui s'est imprimée derrière ses yeux, à force de trop regarder la mer, à s'en brûler la rétine avec le reflet du soleil sur les vagues. sens le parfum brut du stupre, de sueur, l'odeur de vos corps, partout. touche du bout des doigts son cœur de papier, son cœur pâte à modeler, qu'a l'air tout abîmé. touche son sourire maladroit, parce qu'y a rien à dire là-dessus. touche toute sa bonté, son absence de rancoeur. touche son amour inconditionnel pour tous, hommes comme femmes. touche sa peau, touche son papitant, encore et encore, remodèle le à ta façon, remodèle le pour pouvoir y entrer. touche son visage, apprends ses traits par cœur. touche son passé, fronce les sourcils quand il veut plus rien t'dire, parce qu'y a rien à dire d'plus, parce qu'tout a d'jà été dit. fronce les sourcils en touchant sa tristesse simple et humble, de ne pas pouvoir vivre comme il aimerait, sa souffrance cachée derrière ce p'tain d'sourire maladroit. touche le, illumine sa vie de tes caresses légères, apprends lui à vivre et à aimer encore, une fois de plus, sans l'savoir vraiment, sans t'en rendre compte, sans savoir c'que t'es en train de faire. caresse un autre visage que le sien. regarde son petit sourire désolé. triste et pourtant toujours bienveillant, sans colère, sans haine. écoute ses excuses, il ne négocie pas, il ne supplie pas, il dit juste qu'il est désolé de ne pas avoir suffi, ou d'avoir été trop présent, de ne pas avoir été ce qu'il fallait. goûte ses larmes dans ce dernier baiser que tu lui offres, sans réellement te rendre compte de ce que tu es en train d'lui faire subir. sens l'absence de son parfum, parce qu'il s'éloigne, parce qu'il veut te laisser toute la place pour partir, parce qu'il ne suppliera pas pour que tu restes, parce qu'il ne voit pas à quoi ça servirait. touche une dernière fois son cœur, brise-le encore, réduis-le en charpie, ce petit palpitant que tu avais remodelé à ta façon, sans le savoir. sunshine, darling, dear, baby, sole, luna, my love, baby encore, lady.tous ces cœurs qui ont brisé le sien. et qu'il aime encore. et qu'il aimera toujours. - pseudo/prénom : moïra, toujours. j'ai pa changé de prénom entre deux comptes. - âge : de plus en plus proche des dix-sept. - pays/région : la france, et surtout la corse, terre de touristes l'été et du néant l'hiver. - où avez-vous connu le forum : j'ai à peine tenu une semaine. je suis faible. - vos commentaires : c'est beau et je connais une des admins maintenant.. - autre : JE. VOUS. AIME. pas. - Code:
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[b]Ezra Miller[/b] <t5>//firenze giovonni</t5> |
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